Nous avons vu le Festin de pierre arriver d’Italie tout monstrueux : nous avons vu le peuple françois courir pour le voir, avec le même empressement, la même curiosité qu’on montre pour des animaux bizarres : nous l’avons vu successivement passer dans les mains de plusieurs personnes qui, pour attirer la foule, ont tâché d’ajouter à sa singularité ; il est juste de le voir aussi de retour en Italie.