Cette fille étoit chez un marchand d’esclaves, le plus infame coquin du monde. […] Ses larmes n’étoient point de ces larmes désagréables qui défigurent un visage : elle avoit à pleurer une grace touchante, & sa douleur étoit la plus belle du monde.
Cette fille étoit chez un marchand d’esclaves, le plus infame coquin du monde. […] Ses larmes n’étoient point de ces larmes désagréables qui défigurent un visage : elle avoit à pleurer une grace touchante, & sa douleur étoit la plus belle du monde.