C’est un fait que ni la philosophie scientifique d’Épicure, ni la morale austère d’Épictète n’ont conquis le monde : c’étaient doctrines d’intellectuels et d’aristocrates. […] De plus, Molière a exprimé en certains d’entre eux, non seulement le résultat de ses observations à travers un monde qui ne pouvait dissimuler aucun de ses défauts à l’acuité de son regard, mois encore son âme à lui, ses sentiments intimes, quelque chose du plus profond de sa vie. […] sont devenus une sorte de monnaie courante qui fait circuler avec elle à travers le monde la gloire de Molière.