Après trois mois d’épreuve, le conseiller au présidial de Bourges se laissa vaincre ; il abandonna à Dieu tout ce qu’il espérait du génie déjà remarquable de son fils, en qui l’on voyait, suivant l’expression d’alors, une égale « ouverture, » une égale aptitude pour toutes les choses de l’esprit. […] Pendant trois mois de l’année 1865, toutes les âmes sensibles de France ont adoré une héroïne de roman nommée Sybille, que je ne trouve en rien plus noble et plus touchante que Célimène, qui plutôt, à mon sens, lui est inférieure, et qui fait exactement le même calcul.