— § III. 2° La comédie de caractère et de mœurs. — L’École des Maris. — L’École des Femmes. […] Les mœurs n’y sont pas plus françaises qu’espagnoles ; il fallait les remplacer par des peintures de la société française. […] Les mœurs romanesques de la comédie d’intrigue ont fait place aux mœurs véritables de la nation et du temps, qui sont la couleur locale de la comédie. […] De toutes les conventions elle est le plus près de la réalité : ce sont nos mœurs, nos scènes de famille, nos travers ; c’est nous. […] Ces mœurs ont été celles de nos ancêtres, leurs travers nous appartiennent.