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195. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Signé : Frérand. » Et puisque nous sommes aux Archives nationales, donnons encore cette pièce, presque aussi curieuse, qui peint bien les mœurs du temps, ce bon temps, l’âge d’or des servantes de Molière, où toutes les servantes volent : 1673. — 23 février. […] Une telle différence de mœurs le rend, on le comprend, odieux à tout le monde. […] Comme elle jouait les servantes, elle demanda en riant un certificat de bonne vie et mœurs.

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