Guidé d’ailleurs par l’exemple des anciens et par leur manière de mettre en œuvre, il a peint la cour et la ville, la nature et les mœurs, les vices et les ridicules, avec toutes les grâces de Térence* et le feu de Plaute*. […] Il a pris d’Aristophane* le comique, de Plaute* le feu et l’activité, et de Térence* la peinture des mœurs. […] Térence*, admirable par son élocution, sa douceur, sa délicatesse, n’est nullement comique ; et d’ailleurs il n’a point les mœurs des Romains, pour qui il travaillait. […] Il peint non seulement les mœurs du siècle, mais celles de tous les états et de toutes les conditions.