Ce voyage, dont la durée fut de près d’un an, lui fournit l’occasion de saisir les ridicules des provinces, et d’étudier les mœurs de la cour et des gouvernants. […] ô mœurs ! […] La douceur de ses mœurs, la modestie de son caractère, la rendaient pour ainsi dire inaperçue au milieu de cette cour bruyante. […] Ce caractère, comme presque tous ceux qu’a tracés Molière, est étroitement lié à l’histoire des mœurs de son siècle. […] Puisse ce noble exemple, dans l’intérêt de notre gloire littéraire comme dans celui de nos mœurs, rencontrer de nos jours un imitateur !