/ 342
155. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Le Menteur nous met bien loin de Mélite, et nous fait toucher à l’École des Maris. […] Mais en homme de génie, Molière met dans ces rôles le plus de l’homme qu’il peut, et c’est assez pour les faire vivre. […] Il lui met dans la main une pierre, qu’elle promet de jeter au galant ; la pierre est jetée, mais enveloppée d’une lettre. […] Les galants emportent l’attache de ridicule que Célimène leur a mise au dos. […] C’est la pièce où il a mis le plus de feu.

/ 342