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22. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8

On ne saurait aller à meilleure école ni recevoir de plus hautes leçons. […] Jusqu’à la mort de Molière et au-delà, Français et Italiens se firent concurrence, s’imitèrent, s’empruntèrent réciproquement ce qu’ils avaient de meilleur, rivalisèrent dans les fêtes de cour, où ils étaient fréquemment réunis et mis en présence.

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