Bazin, « se serait avisé de reconnaître dans -Oronte, dans ce faquin de qualité tout au plus, qui prétend que le ni en use honnêtement avec lui, le duc de Saint-Aignan (Beauvillers), mauvais poëte, sans douée, comme tout grand seigneur de l’Académie française, homme d’esprit pourtant et du plus exquis savoir-vivre, le Mécène d’alors, respecté de tous, tendrement aimé du roi, comblé de ses plus hautes faveurs, cité partout pour le modèle du plus parfait courtisan10 ?