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194. (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347

Que les pièces de notre auteur aient exercé sur leur siècle une bonne ou une mauvaise influence, peu importe pour notre nouvelle recherche. […] Serait-on tenté de voir ici une contradiction avec les pages (voir le premier article) où nous disons que Molière, après avoir sondé jusqu’au fond le cœur de l’homme, l’avait trouvé mauvais ?

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