Il n’avait qu’une fille unique qu’il aimait beaucoup ; l’ayant mariée à un homme qui la trompa, il en mourut de chagrin, le 1er mars 1692, et fut enterré à Saint-André-des-Arcs. […] Paphetin, père putatif de la demoiselle Bourguignon, ayant appris le dessein qu’elle avait d’épouser Beauval, obtint de l’archevêque de Lyon un ordre portant défense à tous les curés de son diocèse de marier ces deux personnes. […] Après cet éclat, on fut obligé de les marier ; et, quoique Beauval eût alors très peu de talent pour le théâtre, Paphetin le reçut au nombre de ses acteurs.