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193. (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362

C’est pour aggraver les torts de don Juan, en ajoutant le péché du sacrilège à celui du faux mariage et de l’abandon. […] J’ai cru que notre mariage n’était qu’un adultère déguisé, et qu’il nous attirerait quelque disgrâce d’en haut. » La critique qui s’adresse à dona Elvire tombe donc en réalité sur don Juan : c’est un des traits qui servent à dessiner son caractère d’impie et d’athée.

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