Cette belle Dorimène, impatiente d’échapper à la pauvreté et aux brutalités de la maison paternelle, ne s’inquiète même pas de regarder le mari qu’on lui donne ; pourvu qu’elle soit dame et maîtresse en la maison de ce manant, Dorimène est contente. […] Monsieur Sganarelle ne sera pas de ces maris incommodes qui veulent que leurs femmes vivent comme des loups-garous. […] À aucun prix elle n’eût consenti à se façonner aux exigences dévotes de sa belle-mère, madame Pernelle, aux excès religieux de son mari, M. […] Tartuffe, son mari l’ordonne ! […] Orgon, son mari, mais encore nous autres, les spectateurs, nous permettions à Elmire d’implorer un rendez-vous de M.