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123. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Elle consentit donc à se déclarer mère et à faire feu son mari père de l’enfant né en 1645 ; ce qui lui donnait, à elle, une fécondité de vingt-huit ans, ce qui assurait à sa petite-fille, devenue sa fille, un état légitime, un bon mari, une honnête famille. […] Une pardonna ni à la duchesse ni à son mari. […] Il s’était moqué des prudes, des dévotes, des maris trompés, toutes gens que le roi n’aimait point, et que même il était forcé de craindre. […] Premièrement, ils ne gênent pas l’art dramatique et ils veulent bien que M. de Molière joue les dévots, les médecins et les maris ! […] Quel mari sera ce bourru, déjà si difficile et si impérieux amant ?

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