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221. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Ainsi, partout entourée d’adorateurs intéressés et de grossiers détracteurs, la femme, du temps de Molière, ne manquait que de vrais amis. » Mais Molière ne l’a pas traitée mieux qu’on ne le faisait de son temps.

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