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133. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

Ils manquaient de mœurs, de caractères, et de préceptes. […] C’est pourquoi presque tout Paris a souhaité de voir ce qu’une femme pourrait dire, à qui il arriverait la même chose qu’à Sganarelle, et si elle aurait autant sujet de se plaindre quand son mari lui manque de foi, que lui quand elle lui est infidèle. C’est ce qui m’a fait faire cette pièce, qui servira de regard au Cocu imaginaire : puisque dans l’une on verra les plaintes d’un homme qui croit que sa femme lui manque de foi, et dans l’autre celle d’une femme qui croit avoir un mari infidèle.

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