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153. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Je ne veux gâter cette lettre par aucun commentaire ; je le demande seulement : quel est le malheureux qui ne se sentira touché par cette prière d’un amour à tâtons, mêlé de craintes et d’abandonnements, et qu’elle exprime l’un ou l’autre, si franche et si simple dans son expression ?

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