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119. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Le mariage devait être malheureux. […] L’expérience fut malheureuse. […] Je suis bien malheureux de souffrir cette atteinte ; Et que me sert d’aimer comme je fais, hélas ! […] Enfin c’est un homme pour qui je me sens de l’inclination ; et si j’étais princesse, il ne serait pas malheureux. » Le portrait est joli. […] — Malheureux !

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