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118. (1739) Vie de Molière

La disproportion d’âge, et les dangers auxquels une comédienne jeune et belle est exposée, rendirent ce mariage malheureux ; et Molière, tout philosophe qu’il était d’ailleurs, essuya dans son domestique les dégoûts, les amertumes, et quelquefois les ridicules, qu’il avait si souvent joué sur le théâtre. […] Le malheureux Cottin écrivait également contre Ménage, contre Molière et contre Despréaux : les satires de Despréaux l’avaient déjà couvert de honte, mais Molière l’accabla.

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