Voilà Lisardo toujours plus persuadé qu’il est la cause des malheurs de son ami. […] Celui-ci veut s’excuser ; Laura ne croit rien de ce qu’il peut lui dire : les deux amants sortent en se souhaitant toute sorte de malheurs, & en s’écriant amen, amen. […] Il trouve enfin un protecteur qui écrit au Roi pour lui vanter les services de l’infortuné : il parvient aux pieds du Trône ; son maître prend le papier, commence à le lire : le héros croit ses malheurs finis ; point du tout : le hasard veut que le Roi s’endorme dans ce moment.