Quoique d’amour je sois malade, Qu’une autre règne dans mon cœur, Vous pouvez, d’une seule œillade, Me rendre votre adorateur. […] Il a créé vingt-deux rôles dans les pièces de Molière, car il était là au Dépit amoureux ; il y était encore au Malade imaginaire. […] C’est elle qui, à l’âge de huit ans, créa le rôle de Louison dans Le Malade imaginaire ; elle était vive et emportée comme sa mère : la même intelligence et le même feu ; mais ce n’était pas non plus un miracle de beauté. […] Cette fin, un deuil pour le monde entier, n’est qu’un événement à sensation qui fera une réclame pour Le Malade imaginaire. Jouée quelques jours après cette date funèbre, la comédie verra ses recettes augmentées d’un tiers, et Le Malade imaginaire bénéficiera ainsi de la mort de Molière.