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66. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Le Molière de Dandin, et même du Malade imaginaire, c’est du Labiche avec plus d’envergure. […] Cadet fait du Malade imaginaire une simple farce de tréteaux. […] Jamais il n’a poussé si loin que dans Le Malade imaginaire ce que l’on appelle aujourd’hui la rosserie. […] — C’est pour moi que je lui donne ce médecin, répond inconsciemment le malade. […] Mais pourquoi rions-nous aujourd’hui encore au Malade imaginaire ?

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