/ 169
118. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

Autrefois, & dans sa nouveauté, Georges Dandin & le Malade imaginaire étoient appellés de ce nom, parce qu’ils avoient des intermedes. […] Qu’il laisse mettre au rang des farces Georges Dandin, le Malade imaginaire, les Fourberies de Scapin, le Bourgeois gentilhomme, & qu’il tâche de les imiter. […] Le Malade imaginaire, auquel les Medecins doivent plus qu’ils ne pensent, est un tableau aussi frappant & aussi moral qu’il y en ait au théatre.

/ 169