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208. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

L’un lui trouve du jargon, l’autre veut bien convenir que ses pièces en prose sont moins mal écrites que ses comédies en vers. […] En considérant ces destinées nouvelles faites aux lettres par la révolution, nous ne pensons pas qu’il y ait lieu de regretter le temps passé : nous ne croyons guère à l’heureux effet des hautes influences en littérature ; impuissantes pour le bien, elles ne l’ont pas toujours été pour le mal.

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