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19. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

A la vérité, il sait réparer ce dernier mal, en prêchant la servitude. […] Il y en a d’une troisième catégorie : ce sont les philosophes et les politiques, qui avoueront volontiers que le goût du théâtre est un mal ; mais c’est un mal agréable, ils l’érigent en mal nécessaire. […] Il s’abandonnait au mal, mais en gémissant, et non pas avec une stupide indifférence ; il ne disait pas que le mal est le bien. […] Du moins, le remède à ce mal n’est pas de son ressort. […] Ce mal n’a d’autre dictame que les sacrements.

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