voilà tout le mal ; c’est cela qui nous perd. […] On ne peut, ce semble, dire d’Aristophane ni trop de bien, ni trop de mal ; mais en dire seulement du mal ou du bien, c’est tomber dans une erreur égale, quoique contraire. […] À travers l’exagération de ses discours, je discerne ce qu’ils sont les uns et les autres ; d’après le mal même qu’elle en dit, je vois le bien qu’il faut que j’en pense. […] Fénelon dit : « En pensant bien, il parle souvent mal ; il se sert des phrases les plus forcées et les moins naturelles. […] La jalousie, pour n’être pas fondée, en est-elle moins un mal réel ?