En cela, elle se rapproche beaucoup de monsieur et de madame de Sotenville ; mais elle n’est certainement pas de la maison de la Prudoterie, ou elle a beaucoup dégénéré : car elle reçoit en même temps les soins de trois adorateurs ; et, de ces trois, il y en a un dont elle reçoit de l’argent. […] Monsieur Bobinet représente au naturel cette classe d’êtres malheureux, que la misère oblige à vendre du latin aux enfants de famille ; que leurs élèves détestent, tourmentent, s’ils n’en ont fait leurs complaisants et leurs esclaves ; que les parents traitent comme les moins utiles de leurs valets, et qui, pour se maintenir dans cet agréable poste, font bassement la cour à tous les habitants de la maison, sans oublier le petit chien, le singe ou le perroquet.