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16. (1871) Molière

Et le lendemain, le fils du tapissier gâtait du beau velours, et se cognait les mains du marteau paternel. […] Bientôt même oublieux de son chapeau, il se battait contre le Mazarin, l’épée à la main. […] Le sceptre et le bâton dans la même main ! […] On bat des mains, on applaudit ; on trouve que le comédien n’a jamais mieux joué. […] Ses mains tremblent et se crispent !

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