Elle est assise la tête légèrement inclinée ; d’une main elle tient un livre, de l’autre un style. […] Cette tête inclinée, ce corps affaissé sur lui-même, ces mains qui semblent s’abandonner, toute la pose enfin pleine de laisser-aller, ne rendent pas l’idée glorieuse qui s’attache à Molière.