Il est, par exemple, dans tous les pays, des gens de rien, de petits artisans, qui n’ont pas reçu la moindre éducation, qui n’ont pas la moindre notion des choses les plus ordinaires, & qui se mêlent cependant de faire les politiques ; qui négligent totalement leurs affaires domestiques pour songer à celles de tous les Princes du monde : des sots qui n’approuvent jamais ce que font les ministres, & qui puisent dans leur ignorance la vanité de croire que les affaires prendroient entre leurs mains une meilleure tournure. […] Bremenfeld se releve encore, & frappe sur son front avec la main, afin de mieux concevoir ce qu’il médite, & crie : Crispin.