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143. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

ARNOLPHE La besogne à la main ? […] il me prenait et les mains et les bras Et de me les baiser il n’était jamais las ! […] Cela ne fait que l’animer davantage ; et, le compère aussitôt renvoyé, il court s’armer, lui et ses valets, de bâtons bien en main, dont ils accueilleront Horace sur son échelle, à l’heure propice. […] Le traître, bénissant ce coup de fortune, se cache dans son allée, s’enveloppe le nez dans son manteau, et prend la main d’Agnès, qui ne le reconnaît point. […] Comme un morceau de cire entre ses mains elle est.

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