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187. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Esclaves, elles avaient des maîtres soumis ; maîtresses, elles n’auront plus que des sujets rebelles. […] Philaminte, la mère, est la maîtresse femme, habituée à gouverner, et qui croit avoir sur son mari les droits de l’esprit sur la matière. […] On l’abaissera ou on imaginera pour elle une grandeur équivoque : elle sera la servante de l’homme, — sa servante ou sa maîtresse, — non sa compagne.

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