Molière avait passé des amusements que l’on se fait avec un enfant à l’amour le plus violent qu’une maîtresse puisse inspirer. […] Molière, marié, mais isolé et abandonné, n’avait pour se consoler que cette brave La Forêt, demeurée légendaire et adorée de la postérité, puis une de ses actrices, la de Brie, sa maîtresse, qu’il n’aimait point, mais qui l’amusait. […] Elle n’y fut pas plus tôt que la Molière envoya deux gardes pour la faire sortir de l’amphithéâtre, et se donna le plaisir d’aller lui dire elle-même que, puisqu’on la chassait de sa maison, elle pouvait bien à son tour la faire sortir d’un lieu où elle était la maîtresse. […] » Réponse : « Une honnête maîtresse doit aimer son amant plus que sa réputation et sur ce pied elle doit accorder la dernière faveur à son amant, comme une preuve de son amour, jamais autrement. […] De Brie (Catherine Le Clerc du Rozet, demoiselle), une des maîtresses de Molière.