Les éloges que, dans leur hypothèse, Molière n’aurait pas rougi de prodiguer à son propre mérite, ne les ont point arrêtées : elles les ont expliqués et justifiés par le besoin qu’il aurait eu de donner le change à ses lecteurs.
Les éloges que, dans leur hypothèse, Molière n’aurait pas rougi de prodiguer à son propre mérite, ne les ont point arrêtées : elles les ont expliqués et justifiés par le besoin qu’il aurait eu de donner le change à ses lecteurs.