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158. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Son esprit inventif y trouve beau jeu, et, par plaisir plus encore que par nécessité, il se lance, il brode, il argumente, il pérore, il extrevague, il embrouille le cœur et les poumons; il va chercher au fond de sa mémoire quelque bribe rouillée de son latin d’autrefois, et la fait resservir à merveille, s’admirant lui-même de jouer si bien avec l’inconnu.

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