Il définissoit un médecin un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un malade, jusqu’à ce que la nature l’ait guéri, ou que les remèdes l’ayent tué. « Voilà donc votre médecin, lui dit Louis XIV un jour à son dîner, le voyant avec M. de Mau-vilain. […] Les précieuses, les petits-maîtres et les médecins ont été les principaux objets de sa satyre. […] On compte, parmi ses pièces de théâtre, la Dame médecin, jouée à Guenegaud, en 1678198 ; l’Impromptu 199 ; Les trois petites pièces de la Didon lardée. […] Hauteroche la mit dans l’état où nous la voyons237 ; Le Feint Polonois, ou la Veuve impertinente, de trois actes, en prose, 1686238 ; Les Bourgeoises de qualités 239, de cinq actes, en vers, 1691240; Crispin médecin, de trois actes, en prose, 1680241; Les Nouvellistes, en trois actes, 1678, à l’Hôtel de Bourgogne ; La Bassette, comédie242, jouée à l’Hôtel de Bourgogne en mai 1680243, différente de celle de Guenegaud, jouée en même temps sous le même titre244.