Mais, sans doute, empêcher les femmes d’être coquettes et façonnières. n’était pas une moindre tâche que de rendre les médecins instruits, charitables et modestes ; car, pour elles comme pour eux, Molière se crut obligé de reprendre le même sujet de comédie jusqu’à la fin de sa vie287. […] Voir sur les médecins, plus haut, chap. […] » (L’Amour médecin, act.