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50. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341

Dans le Médecin malgré lui, nous voyons Lucinde quitter fort tranquillement le théâtre pour suivre son amant qui est déguisé en apothicaire, & qui l’enleve après que Sganarelle lui a donné cette recette salutaire : ACTE III. […] C’est l’office du Médecin de voir les tettons des nourrices. […]  Les médecins disent, quand on est ivre,  Que de sa femme on se doit abstenir ; Et que, dans cet état il ne peut provenir Que des enfants pesants, & qui ne sauroient vivre. […]  Je me moque des médecins  Avec leurs raisonnements fades. […] Il n’est ni vin ni temps qui puisse être fatal A remplir le devoir de l’amour conjugal ;  Et les médecins sont des bêtes.

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