Dans le Médecin malgré lui, nous voyons Lucinde quitter fort tranquillement le théâtre pour suivre son amant qui est déguisé en apothicaire, & qui l’enleve après que Sganarelle lui a donné cette recette salutaire : ACTE III. […] C’est l’office du Médecin de voir les tettons des nourrices. […] Les médecins disent, quand on est ivre, Que de sa femme on se doit abstenir ; Et que, dans cet état il ne peut provenir Que des enfants pesants, & qui ne sauroient vivre. […] Je me moque des médecins Avec leurs raisonnements fades. […] Il n’est ni vin ni temps qui puisse être fatal A remplir le devoir de l’amour conjugal ; Et les médecins sont des bêtes.