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49. (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682

Il y jouait la Faculté de Médecine en corps, après avoir joué les Médecins en particulier dans plusieurs autres, où il a trouvé moyen de les placer ; ce qui a fait dire que les Médecins étaient pour Molière, ce que le vieux Poète était pour Térence. […] La plupart étaient sur les Médecins vengés qu’on prétendait l’avoir laissé mourir sans secours, par ressentiment de ce qu’il les avait trop bien joués dans ses Comédies.

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