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3. (1910) Rousseau contre Molière

Pour méchant, Rousseau concède cela ; or Alceste ici n’est pas même méchant ; il n’est que rudement ironique et contempteur. […] Le danger de faireberner les sots par les méchants, c’est qu’à montrer la sottise des sots on diminue l’horreur à l’endroit des méchants. […] Mais, c’est précisément là la maxime du Méchant de Gresset. […] Ne haïssait-on pas les méchants ? […] Ils ne se moquent point du méchant, du sournois, du violent, du vindicatif.

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