Jean-Baptiste Poquelin (c’est le nom de son père ; sa mère avait nom Marie Cressé) est un enfant de Paris, du Paris plein de bruit, de tumulte et de chansons. […] Rien de plus beau que monseigneur le duc d’Orléans : beaucoup de grâce et de douceur dans l’esprit, de civilité et de politesse, attestaient aux moins clairvoyants la tendresse et les soins de sa mère. […] Elle entourait de tous les soins d’une mère tendre cette santé chétive.