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30. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

La mère vivait et pouvait avoir soixante ans. […] Quelle mère, je ne dis pas chrétienne, mais tant soit peu honnête, n’aimerait mieux voir sa fille dans le tombeau que sur le théâtre ? […] Il avait eu peu d’autres secours pour la vertu, que celui d’une éducation pieuse et les exemples de sa mère. […] Molière avait trouvé son prince ; Bossuet avait été introduit à Paris par la Reine Mère ; Bourdaloue fut célébré par Mademoiselle. […] Auteur d’unTraité des devoirs des mères de famille, couronné par l’Académie.

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