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111. (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221

Enfin, il oppose à l’orgueilleuse et pédante Armande l’aimable Henriette, exempte de cette vanité si commune aux jeunes filles; qui, pour n’être recherchée de Clitandre qu’au refus de sa sœur, ne l’en estime pas moins; dont l’esprit judicieux se montre dans ses actions comme dans ses paroles, et particulièrement à la fin de la pièce, lorsque, dupe du stratagème employé pour dessiller les yeux de sa mère au sujet de Trissotin, elle croit à la ruine de sa famille et ne veut plus épouser son amant. […] Sa mère, du moins, sera vengée, et comme elle, vous n’aurez plus d’enfant. » Dans ce moment un grand bruit se fait dans la rue ; on entend le roulement sinistre des tambours; c’est Éric qui va subir son jugement et que l’on conduit à la mort.

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