Que dirait-on d’un homme qui ne souhaiterait pas la fin d’une guerre ruineuse, sous prétexte que la paix est rarement de longue durée ? […] Après une déroute aussi complète des ridicules qu’on la vit au temps de Molière, peut-être avaient-ils besoin d’une longue paix pour se mettre en état de reparaître.