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40. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

On y croyait comme à des lois absolues, et même comme à d’efficaces recettes. […] Ainsi, lorsqu’elle s’acharnait sur ce type de l’hypocrite, la poésie française subissait la loi de la réalité. […] La correction du style résulte de la fidélité aux lois du langage; la justesse de l’accord du style avec la pensée. […] Le fait isolé, la réalité palpable, la touche plus que l’idée abstraite ou la loi. […] Le berger Agnelet, ce trompeur d’autant plus fin qu’il a l’air plus niais, est l’instrument dont se sert la Justice pour rétablir ses lois.

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