(Le théâtre représente un cabinet de livres. Ariste est assis vis-à-vis d’une table sur laquelle il y a une écritoire & des plumes, des livres, des instruments de mathématique, & une sphere.) […] Qu’il a un cabinet & des livres, qu’il cultive les Muses. Que nous importe, puisque son cabinet, ses livres, & les Muses, ne seront pour rien dans la piece ? […] Monsieur Fleurant, c’est se moquer ; il faut vivre avec les malades : mais Monsieur Purgon ne vous a pas ordonné de mettre quatre livres. . . . . .