Il avait jadis été fort lié avec Baptiste, comme on appelait Lulli, et lui avait même prêté onze mille livres remboursables à la volonté du débiteur. […] Le livre est trop connu pour que je m’attache à l’examiner. […] « La maison ne représentait pas, en ce temps-là, un loyer supérieur a 500 livres, » nous dit M. […] La maison rapportait alors 540 livres ; elle fut louée 750 livres en 1695 et 900 cinq ans après. […] M. du Boulan n’accepte pas davantage l’explication fournie par celui qui écrit ces lignes, dans son livre sur la vie de Molière.