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88. (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136

Le côté scientifique de ses œuvres étant resté inaperçu, je me propose de le mettre en lumière, avec la conviction de démontrer que si par ses éminentes qualités littéraires il figure parmi les plus remarquables de nos écrivains, par ses conceptions psychologiques il doit compter parmi les plus judicieux et les plus profonds de nos savants, car il a exposé avec une vérité merveilleuse la plus difficile de toutes les sciences, celle du cœur humain. […] Cette scène est aussi admirable au point de vue de la science du cœur qu’au point de vue littéraire. […] Évidemment c’est ailleurs que dans l’enseignement moral que réside le mérite de la pièce. » Et, à ses yeux, ce mérite est exclusivement littéraire.

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